

Fêtons Noël.
Adorons l'Emmanuel, "
Dieu-avec-nous.
Dans la nuit du 24 au 25 décembre, les chrétiens du monde entier célèbrent la naissance de Jésus, Fils de Dieu. C’est une fête exceptionnelle, car c’est en Jésus que Dieu se fait tout proche de nous. En fait, il se fait l’un de nous !Il se fait l’un de nous, et le plus petit d’entre nous ! Il naît dans une étable, alors que ses parents sont sur la route et ne sont accueillis nulle part pour la naissance de ce petit.
Alors, contemplons ce petit bébé, qui vient nous témoigner de l’Amour immense de Dieu pour chacun d’entre nous !Alors que les vitrines se décorent et les musiques de Noël résonnent sur les marchés, pour de nombreuses personnes, Noël est un lieu de solitude. Alors, comment se réjouir quand tant souffrent ? Que veut dire attendre le Messie, notre Sauveur, quand des familles sont déchirées, d’autres en grande précarité ?
Ce qui rend chaque Noël particulier, ce qui fait que, chaque année, nous ne rejouons pas le souvenir d’un événement qui a eu lieu il y a 2000 ans, c’est précisément que Jésus vient habiter nos vies d’aujourd’hui, avec tout ce qu’elles comportent. Jésus vient habiter au milieu de chacun de nos foyers, aussi cabossés soient-ils. Chaque année, Dieu nous travaille pour que nous puissions L’accueillir chez nous. Ecoutons-le nous dire « que veux-tu que Je fasse pour toi?. Et si l’on regarde bien ce petit bébé dans la crèche, on peut le voir qu’il nous tend les bras pour nous entraîner derrière Lui. Jésus le tout petit, Jésus le maltraité, Jésus qui est né dans une étable, rejeté de tous. Jésus revient nous dire, cette année encore, qu’Il souffre avec chacun d’entre nous, mais que l’amour est plus grand. Il se rend présent à nos côtés, Lui qui a tout vécu avant nous.
Alors, appelons le ! Sollicitons le ! Crions lui ce que nous avons sur le cœur ! C’est le moment…
Texte de l'Emmanuel
Or, pendant qu’ils étaient là,
le temps où elle devait enfanter fut accompli.
Et elle mit au monde son fils premier-né ;
elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire,
car il n’y avait pas de place pour eux dans la salle commune.
(Evangile selon Saint Luc 2)
Dans cette impressionnante collection de livres qu'est la bible,
une seule phrase parmi des milliers
suffit à présenter l'événement le plus important
de toute l'histoire humaine.
Toute la bible,
ou annonce cet événement...
l'humanité entière l'attendait
depuis toujours...
ou alors,
nous presse de le reconnaître, de le fêter
et de la vivre.
Une femme met au monde son enfant premier-né,
le lange et le couche... dans une mangeoire...
car il n'y avait pas de place
ni pour elle, ni pour lui
dans le monde des humains.
Y aura-t-il de la place pour lui aujourd'hui
dans notre monde ?
Dans ma vie ?
Dans la même région, il y avait des bergers
qui vivaient dehors et passaient la nuit dans les champs
pour garder leurs troupeaux.
L’ange du Seigneur se présenta devant eux,
et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa lumière.
Ils furent saisis d’une grande crainte.
Alors l’ange leur dit : « Ne craignez pas,
car voici que je vous annonce une bonne nouvelle,
qui sera une grande joie pour tout le peuple :
Aujourd’hui, dans la ville de David,
vous est né un Sauveur
qui est le Christ, le Seigneur.
Et voici le signe qui vous est donné :
vous trouverez un nouveau-né
emmailloté et couché dans une mangeoire. »
Et soudain, il y eut avec l’ange une troupe céleste innombrable,
qui louait Dieu en disant :
« Gloire à Dieu au plus haut des cieux,
et paix sur la terre aux hommes, qu’Il aime."
Heureusement que Dieu en personne fait la pub
et sort le grand jeu pour annoncer
la Bonne Nouvelle...
Il envoie son ange... pas moins...
Lumière... musique... bonne nouvelle...
uen troupe céleste pour assurer le spectacle.
Pour qui donc ?
Pour les plus pauvres encore... les plus méprisés...
des bergers qui eux n'ont même pas de toit !
Mais justement, les voilà aux premières loges
quand Dieu fait sa déclaration d'amour
à tous les hommes qu'il aime !
Serons-nous aux premières loges ?
Nous sommes responsables de la lumière,
portons l'espérance et la confiance.
Et le Verbe devint chair,
il a habité parmi nous,
et nous avons vu sa gloire,
la gloire qu’il tient de son Père
comme Fils unique,
plein de grâce et de vérité.
Faut-il aller plus loin et
se demander vraiment qui est celui qui vient en cette nuit ?
Saint Jean, le quatrième évangéliste, nous presse de le suivre...
Ne parlons pas qui de paix... Accueillons le Prince de la Paix.
Qui est-il ?
Qui est-il pour qu'il puisse vraiment nous combler
de la Paix qui vient du ciel ?
Il doit être du ciel, la Propre Parole de Dieu,
son Fils en personne
qui s'adjoint une humanité...
qui vient vivre divinement cette humanité, la sienne,
pour que nous puissions
en le laissant habiter en nous,
y dresser sa tente...
vivre divinement la nôtre aussi.
Dieu a voulu éprouver, sentir la vie et la misère
dont nous souffrons pour nous être séparés de lui...
et sauver cette vie, toute vie, la mienne...
la ramner à lui...
Jusqu'à ce que nous puissons dire avec Saint Paul :
"Ce n'est plus moi qui vis,
c'est le Christ qui vit en moi" (Ga 2,20).
JOYEUSE FÊTE DE NOËL.
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